Art islamique

Seules les plantes et la calligraphie arabe ont le droit de décorer les temples musulmans, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur.

+++ de mosaïques (Emprunté à l'art byzantin qui lui, l'avait emprunté à l'art romain.)

Tuiles décorées

Temples musulmans =mosquées

Rectangulaires

Entourés de tours appelées minarets (C'est du haut des ces tours que les muezzins chantent la prière 5X par jour.)

Au centre, une grosse coupole entourée de 4 autres de + petites tailles.

 

Lieux: 

 

Afrique du nord

Moyen Orient

Sud de l'Espagne (Alhambra de Grenade)

Grande Mosquée de Cordoue (Espagne)

 

Haroun-Al-Rachid:

 

Considéré comme le bien-aimé et le juste.

Va permettre le développement du style musulman ou islamique par sa calligraphie

À l'Époque Bagdad (ville lumière) est la capitale des Milles et une nuits.

 

Dates:

 

Du VIIIe siècle au XIXe siècle

On retrouve ces images dans certains ``Livres des Rois`` et dans certains ``Corans``. 

***Les Perses( Source d'inspiration) : 

Vivacité des couleurs car ils ajoutent des pierres précieuses écrasées (+or, +argent)

 

Lalla Essaydi:

 

Son travail est axé autour de la représentation du corps de la femme et notamment la complexité de la vision occidentale sur l’identité des femmes des pays arabes. Avec son regard de femme adulte émancipée, elle puise dans ses propres souvenirs de petite fille marocaine : elle interroge son présent au-travers de son passé. Elle "souhaite [se] présenter via différents prismes : comme artiste, comme marocaine, comme traditionaliste, comme libérale, comme musulmane"3. Son travail prend la forme de séries photographiques où elle travaille elle-même la calligraphie arabe au henné, sur de nombreux supports (tissus, corps, murs, etc.). Elle photographie des femmes qui lui ressemblent : marocaines, expatriées, elles sont marquées par leur expériences dans le pays d’origine mais aussi par celles vécues dans le pays qui les a accueilli. Dans cette idée, Lalla Essaydi utilise des matériaux associés à l’art islamique en les incluant dans une imagerie plutôt proche de l’art occidental. Elle puise notamment ses inspirations dans l’imagerie orientaliste occidentale du xixe siècle. Si Lalla Essaydi ose de tels grands écarts stylistiques, c’est pour inviter les spectateurs à repenser les mythologies orientalistes en résistant aux stéréotypes.

 

Biographie:

 

Le parcours de Lalla Essaydi commence au Maroc, dans un harem, où elle est née et a grandi1. Après quelques années passées en Arabie saoudite, ses études l’amènent jusqu’en France où elle sera diplômée de l’École des Beaux-Arts en 1994, puis aux États-Unis où elle obtient une Licence et un Master en Beaux-Arts (Université de Tufts, 1999 et École du Musée des Beaux- Arts de Boston, 2003). Aujourd’hui, elle partage son quotidien entre New York et Marrakech2. Elle est actuellement représenté par quatre galeries (Howard Yezerski Gallery à Boston, Edwynn Houk à New-York et Zurich, et Gallery Tindouf à Marrakech) et a été exposée aux quatre coins du globe, des États-Unis au Japon, en passant par la France et la Syrie.

 

Shirin Neshat:

 

Ses parents sont issus d'un milieu aisé. Son père était médecin et sa mère s'occupait du foyer. Elle a grandi dans une famille occidentalisée qui appréciait la vision du choix de société du shah d'Iran. Neshat a dit au sujet de son père, « il a fantasmé l'Ouest, idéalisé l'Ouest, et a lentement rejeté ses propres valeurs ; mes parents étaient ainsi. Ce qui s'est produit, je pense, est que leur identité s'est lentement dissoute, ils l'ont échangée pour le confort. Ils ont servi leur classe. »1. Dans cette volonté d'occidentalisation des Neshat, elle fut inscrite dans une école catholique de Téhéran. Elle a trouvé l'ambiance froide et hostile en comparaison à son foyer familial. Parmi les éléments de l'occidentalisation de son père, il y avait l'acceptation d'une forme de féminisme à l'occidentale. Le père de Neshat a encouragé sa fille « à être une personne, à prendre des risques, à apprendre, à voir le monde. », et contrairement à la pratique conventionnelle de l'époque, il a envoyé ses filles aussi bien que ses fils à l'université pour faire des études supérieure.

 

Shirin Neshat a quitté l'Iran pour étudier l'art à Los Angeles. C'était à cette époque que la révolution iranienne s'est produite. Un des effets des changements politiques après la révolution, fut que son père qui avait été financièrement aisé, dut se retirer et partir sans avantages et avoir un maigre salaire. Une fois la Révolution terminée, et la société restructurée en nation islamique traditionnelle, sa famille n'avait plus la possibilité de maintenir le niveau de vie qui fut le sien sous le Shah. Environ un an après la Révolution, Shirin Neshat s'installe à San Francisco, dans le quartier de la baie et étudie au Dominican College. Par la suite, elle s'inscrit à l'université de Berkeley où elle obtient différents diplômes : BA, MA et MFA (équivalents américains des licences et maîtrises en France dans les formations artistiques).

 

Elle fait l'expérience du fossé entre l'Iran contemporain et celui d'avant la Révolution dans lequel elle avait été élevée. De cette constatation et ce choc naîtra sa première œuvre reconnue : les photos de la série The Women of Allah (Les Femmes d'Allah) présentant des portraits de femmes entièrement recouvertes de calligraphie farsi.

 

Henné

Il transforme les mots en dessins pour illustrer la langue arabe

la céramique islamique

Brève description

Prend ses sources dans l'art byzantin

et l'art des Perses

Nouvelle religion : Mahomet VIIe siècle

Même style byzantin mais il exige que dans les temples, aucune représentation de personnages ou d'animaux ne soit visible.

Raison : Crainte que le peuple ne vienne les adorer.

(Inquiétudes similaires que pour les iconoclastes.)

 

Mosquées

Minarets

Muezzins

Espagne (Alhambra de Grenade)

Grande Mosquée de Cordoue (Espagne)

Calligraphie

Coran et Livre des rois

Bagdad

Lalla Essaydi

Shirin Neshat